Thèmes dans le milieu de partie :

 

1. L’avance des pions adverses peut donner une indication afin de déterminer où porter l’attaque :

- par exemple, si l’adversaire a avancé c6 ou c3 alors le pion c avance jusqu’à c5 ou c4, le pion b jusqu’à b5 ou b4 et le pion a si possible jusqu’à a6 ou a3. Le pion a3 s’échange alors contre le pion b7 ou b2,le pion b contre c6 ou c3, le pion c5 devient un pion passé.

 

2. Si l’adversaire a avancé en f6, il faut attaquer avec g . Si l’adversaire a avancé h6, il faut attaquer avec g également.

 

3. La présence d’un pion en b6 (b3) invite à attaquer avec a jusqu’en a5 (a4) (débordement)

 

3. Modification de la structure de pions : lorsque nos pièces sont bien placées, nous pouvons augmenter notre avantage par la modification de la structure de pions (Flesch) [avec l’aide de nos pièces mieux placées ; alors, occupé par la position moins favorable de ses propres pièces, l’adversaire ne pourra s’adapter facilement à ces circonstances nouvelles.]

 

4. Complication : Il est dans la nature même du milieu de partie que le combat positionnel comporte des variantes tactiques accessoires. C’est que le joueur en défense cherche à gêner le déroulement du plan adverse en créant des complications. C’est une éventualité que doit toujours envisager celui qui a l’avantage. (Flesch)

 

5. Collaboration des pièces légères et lourdes :

Lorsque l’on a réussi à installer ses pièces légères aux meilleurs postes, il faut s’efforcer de mettre également les pièces lourdes en harmonie avec la position.

 

6. Simplifier pour obtenir une finale gagnante, c’est fréquemment l’issue du milieu de partie.

 

7. La formation de pions doublés dans le camp adverse est en général une raison suffisante pour l’abandon de la paire de Fous.

 

8. Conduite de la partie dans une position ouverte : dans ce type de position, la règle est d’effectuer un développement rapide.

 

9. Conduite de la partie dans une position fermée : certains éléments positionnels (tels que le matériel en jeu et sa disposition) ont bien plus d’importance que le développement des pièces (Steinitz) [Steinitz, dans ce genre de position construit un centre solide et inattaquable. Ainsi, il peut préparer lentement une offensive sur l’aile et attaquer le roi adverse sans risque d’être importuné.]

 

10. Dans les échecs hypermodernes, on est opposé au principe d’ouverture selon lequel chaque coup doit contribuer au développement. Aujourd’hui, les maîtres les plus doués préfèrent suivre un plan dès le départ. [ Dans la vie , un homme doit-il dès le départ développer l’ensemble de ses capacités et de ses forces ou doit-il plutôt se concentrer sur un objectif précis ? La plupart des hommes doivent se diriger vers la 1° alternative, alors que les génies adoptent une voie très personnelle.

 

11. A une action de force sur l’aile, doit répondre une action au centre.

 

12. Dans un combat stratégique, les deux joueurs ont toujours intérêt à tenir compte des éléments tactiques ; on peut parfois être plus efficace en réalisant l’objectif stratégique par des moyens tactiques.

 

13. Pour lutter contre une paire de Fous, il est généralement bon de rechercher la fermeture du jeu, bien qu’il soit toujours plus difficile de maintenir une position fermée que de l’ouvrir .

 

14. Plan de la conduite de la partie pour la structure de pions :

Des formations différentes exigent des coups différents mais dans leur essence, les plans demeurent les mêmes : il s’agit toujours de béliers, de duos et de leviers, de cases de blocage, d’avant-postes pour les Cavaliers, du danger de monochromie quand il y a des Fous et des pions bloqués, de rapports d’empans sur les colonnes semi-ouvertes. Et tout tourne autour de l’axe d’échanges de pions exécutés dans les règles de l’art.

 

15. L’avance des pions adverses peut donner une indication afin de déterminer où porter l’attaque :

- par exemple, si l’adversaire a avancé c6 ou c3 alors le pion c avance jusqu’à c5 ou c4, le pion b jusqu’à b5 ou b4 et le pion a si possible jusqu’à a6 ou a3. Le pion a3 s’échange alors contre le pion b7 ou b2,le pion b contre c6 ou c3, le pion c5 devient un pion passé.

 

16. Si l’adversaire a avancé en f6, il faut attaquer avec g . Si l’adversaire a avancé h6, il faut attaquer avec g également.

 

3. La présence d’un pion en b6 (b3) invite à attaquer avec a jusqu’en a5 (a4) (débordement)

 

17. Modification de la structure de pions : lorsque nos pièces sont bien placées, nous pouvons augmenter notre avantage par la modification de la structure de pions (Flesch) [avec l’aide de nos pièces mieux placées ; alors, occupé par la position moins favorable de ses propres pièces, l’adversaire ne pourra s’adapter facilement à ces circonstances nouvelles.]

 

18. Complication : Il est dans la nature même du milieu de partie que le combat positionnel comporte des variantes tactiques accessoires. C’est que le joueur en défense cherche à gêner le déroulement du plan adverse en créant des complications. C’est une éventualité que doit toujours envisager celui qui a l’avantage. (Flesch)

 

19. Collaboration des pièces légères et lourdes :

Lorsque l’on a réussi à installer ses pièces légères aux meilleurs postes, il faut s’efforcer de mettre également les pièces lourdes en harmonie avec la position.

 

20. Simplifier pour obtenir une finale gagnante, c’est fréquemment l’issue du milieu de partie.

 

21. La formation de pions doublés dans le camp adverse est en général une raison suffisante pour l’abandon de la paire de Fous.

 

22. Conduite de la partie dans une position ouverte : dans ce type de position, la règle est d’effectuer un développement rapide.

 

23. Conduite de la partie dans une position fermée : certains éléments positionnels (tels que le matériel en jeu et sa disposition) ont bien plus d’importance que le développement des pièces (Steinitz) [Steinitz, dans ce genre de position construit un centre solide et inattaquable. Ainsi, il peut préparer lentement une offensive sur l’aile et attaquer le roi adverse sans risque d’être importuné.]

 

24. Dans les échecs hypermodernes, on est opposé au principe d’ouverture selon lequel chaque coup doit contribuer au développement. Aujourd’hui, les maîtres les plus doués préfèrent suivre un plan dès le départ. [ Dans la vie , un homme doit-il dès le départ développer l’ensemble de ses capacités et de ses forces ou doit-il plutôt se concentrer sur un objectif précis ? La plupart des hommes doivent se diriger vers la 1° alternative, alors que les génies adoptent une voie très personnelle.

 

25. A une action de force sur l’aile, doit répondre une action au centre.

 

26. Dans un combat stratégique, les deux joueurs ont toujours intérêt à tenir compte des éléments tactiques ; on peut parfois être plus efficace en réalisant l’objectif stratégique par des moyens tactiques.

 

27. Pour lutter contre une paire de Fous, il est généralement bon de rechercher la fermeture du jeu, bien qu’il soit toujours plus difficile de maintenir une position fermée que de l’ouvrir .

 

28. Plan de la conduite de la partie pour la structure de pions :

Des formations différentes exigent des coups différents mais dans leur essence, les plans demeurent les mêmes : il s’agit toujours de béliers, de duos et de leviers, de cases de blocage, d’avant-postes pour les Cavaliers, du danger de monochromie quand il y a des Fous et des pions bloqués, de rapports d’empans sur les colonnes semi-ouvertes. Et tout tourne autour de l’axe d’échanges de pions exécutés dans les règles de l’art.

 

29. L’avance des pions adverses peut donner une indication afin de déterminer où porter l’attaque :

- par exemple, si l’adversaire a avancé c6 ou c3 alors le pion c avance jusqu’à c5 ou c4, le pion b jusqu’à b5 ou b4 et le pion a si possible jusqu’à a6 ou a3. Le pion a3 s’échange alors contre le pion b7 ou b2,le pion b contre c6 ou c3, le pion c5 devient un pion passé.

 

30. Si l’adversaire a avancé en f6, il faut attaquer avec g . Si l’adversaire a avancé h6, il faut attaquer avec g également.

 

3. La présence d’un pion en b6 (b3) invite à attaquer avec a jusqu’en a5 (a4) (débordement)

 

31. Modification de la structure de pions : lorsque nos pièces sont bien placées, nous pouvons augmenter notre avantage par la modification de la structure de pions (Flesch) [avec l’aide de nos pièces mieux placées ; alors, occupé par la position moins favorable de ses propres pièces, l’adversaire ne pourra s’adapter facilement à ces circonstances nouvelles.]

 

32. Complication : Il est dans la nature même du milieu de partie que le combat positionnel comporte des variantes tactiques accessoires. C’est que le joueur en défense cherche à gêner le déroulement du plan adverse en créant des complications. C’est une éventualité que doit toujours envisager celui qui a l’avantage. (Flesch)

 

33. Collaboration des pièces légères et lourdes :

Lorsque l’on a réussi à installer ses pièces légères aux meilleurs postes, il faut s’efforcer de mettre également les pièces lourdes en harmonie avec la position.

 

34. Simplifier pour obtenir une finale gagnante, c’est fréquemment l’issue du milieu de partie.

 

35. La formation de pions doublés dans le camp adverse est en général une raison suffisante pour l’abandon de la paire de Fous.

 

36. Conduite de la partie dans une position ouverte : dans ce type de position, la règle est d’effectuer un développement rapide.

 

37. Conduite de la partie dans une position fermée : certains éléments positionnels (tels que le matériel en jeu et sa disposition) ont bien plus d’importance que le développement des pièces (Steinitz) [Steinitz, dans ce genre de position construit un centre solide et inattaquable. Ainsi, il peut préparer lentement une offensive sur l’aile et attaquer le roi adverse sans risque d’être importuné.]

 

38. Dans les échecs hypermodernes, on est opposé au principe d’ouverture selon lequel chaque coup doit contribuer au développement. Aujourd’hui, les maîtres les plus doués préfèrent suivre un plan dès le départ. [ Dans la vie , un homme doit-il dès le départ développer l’ensemble de ses capacités et de ses forces ou doit-il plutôt se concentrer sur un objectif précis ? La plupart des hommes doivent se diriger vers la 1° alternative, alors que les génies adoptent une voie très personnelle.

 

39. A une action de force sur l’aile, doit répondre une action au centre.

 

40. Dans un combat stratégique, les deux joueurs ont toujours intérêt à tenir compte des éléments tactiques ; on peut parfois être plus efficace en réalisant l’objectif stratégique par des moyens tactiques.

 

41. Pour lutter contre une paire de Fous, il est généralement bon de rechercher la fermeture du jeu, bien qu’il soit toujours plus difficile de maintenir une position fermée que de l’ouvrir .

 

42. Plan de la conduite de la partie pour la structure de pions :

Des formations différentes exigent des coups différents mais dans leur essence, les plans demeurent les mêmes : il s’agit toujours de béliers, de duos et de leviers, de cases de blocage, d’avant-postes pour les Cavaliers, du danger de monochromie quand il y a des Fous et des pions bloqués, de rapports d’empans sur les colonnes semi-ouvertes. Et tout tourne autour de l’axe d’échanges de pions exécutés dans les règles de l’art.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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